Open Life ; heavely colony (2 admins&modo motivés)

Aujourd'hui, c'est Dimanche. Hélaine était assise sur son fauteuil rembouré depuis une heure. Elle attendait que le téléphone sonne pour enfin pouvoir décrocher. Mais cela commencait à l'énerver de plus en plus. Elle décida donc, de se lever et d'aller prendre une douche en attendant la sonnerie de son téléphone. Elle monta les escaliers de son studio quatre à quatre et se dépecha de se doucher, pour ne pas devoir répondre quand elle serait sous la douche. Elle ouvrit, donc, les portes de sa douche et y penetra . Elle régla l'eau sur tiède, et commença à se doucher, déja, elle sentait la chaleur pénétrait dans son corps, elle en avait presque des frissons. L'eau coulait doucement en petite billes sur son dos, ses bras... Hélaine révait, elle revait de se retrouver sur scène à chanter devant un public défoulé. Elle revait qu'elle chantait la petite chanson que lui avait appris son frère. Elle ferma les yeux, l'eau coulait toujours sur son corps, un grand silence regnait, dans la pièce et dans le studio. On entendait que le bruit de l'eau provenant de la salle bain. Hélaine rouvrit les yeux et commença à se savonner. Le savon avait une odeur de lilas. Hélaine se lava les chevaux, puisque le téléphone ne sonnait toujours pas. Elle pris son shampooing et fit coulait doucement le liquide dans la paume de sa main, avant de le mélanger à ses cheveux soyeux. Une fois qu'elle eut finit de se savonner les cheveux elle les mouilla pour les rincer, et repartit dans ses rêves. Elle revoyer le public, qui maintenant avait sortit les briquets, car Hélaine chantait presque une berceuse. Dans sa douche, Hélaine vascilla, comme si elle allait tomber. Elle chantonnait tout bas la chanson qu'elle écoutait, elle allait presque s'endormir quand... DRiiiiiiNG, le téléphone sonna enfin. Hélaine ne réagit pas à la première sonnerie mais à la deuxième. Elle sursauta et éteinds immédiatement l'eau. Elle ouvrit les portes de la douche, se secha vite, pendant que le téléphone ne cessait de sonner. Elle se secha rapidement les cheveux, puis elle enfila un peignoire avant de rejoindre le rez-de-chaussée où le téléphone ne cessait de sonner. Elle se précipita sur lui, et le déccrocha, éssouflée.

« Allô ? Je t'attendait, tu aurais put répondre avant ! Une heure que j'attendait comme une idiote devant le téléphone ! Une heure ! Bon, alors qu'est ce qu'il y a avait de si important à me dire ? »